Freezer se dirigea vers le hangar à Vaisseau en tenant fermement la main de Frozin, qui a bien du mal à suivre le mouvement trop rapide du tyran. Etant finalement près de son vaisseau mère, l'alien constate que son capitaine ne les a pas suivis, mais il se rappelle qu'il lui a dit qu'il partirait en reconnnaissance sur Métal, avant que lui et sa femme ne parte.
*Il a bien fait de partir en reconnaissance, mais j'espère qu'il ne provoquera pas une quelconque embrouille, je ne tient pas à perdre un vieil ami à cause de son incompétence diplomatique.*
Il regarda sa femme d'un air admiratif, et sans perdre un instant, il l'embrassa tendrement. Dès que une patrouille de soldats arrivent, Freezer tourne l'attention vers eux. Etant donné qu'il a bien besoin de main d'oeuvre, cette patrouille, composé dune vingtaine de soldats, lui sera utile. Il fit alors un brusque geste de la main en direction du Sergent de patrouille, et s'avance vers lui en le ragardant de son air habituel, froid et mauvais.
"Sergent, j'ai besoin de vous, pour une quète sur la planète Métal, qui comme vous le savez appartient au cyborg, vous allez m'aider à récupérer quelques matériels technologiques, et vous ne poserez pas de questions sur ce que je vais en faire. Ce n'est pas une demande, Sergent, C'EST UN ORDRE."
Etant un officier, qui font généralement partit des fidèles du tyran, le Sergent ne bronche point et salua fièrement l'alien qui souria de satisfaction. Il finit par se diriger vers le vaisseau, en mettant le bras de sa bien aimée sous le sien.
"Maintenant, en route vers Métal, et ne perdons pas de temps."
Il se dirige tranquilement, lui et sa femme, vers la salle de commandement, ou siège deux trônes. Il finit par s'asseoir sur le sien, et commande à un des soldats qui viennent d'arriver, à servir deux verres de vin rouge. Dès que celà fut fait, le soldat donne le verre aux deux tyrans, avant de s'éloigner en courant de la pièce. Etant enfin seul, le tyran leva le verre en direction de Frozin, avant de l'embrasser d'un bref baiser. Après ce bref et doux baiser, le tyran s'accoude à son trône et observe la grande vitre devant eux, leur permettant de voir l'exterieur.
"Lorsque nous allons décoller, profite en pendant un petit temps pour observer le paysage, qui apparement te fait plaisir, après tu ne verras que l'espace."
Le vaisseau se mit alors à trembler, et un grand bruit de moteur se fit retentir, c'est le vaisseau qui commence à partir, s'éloignant rapidement du hangar à Vaisseau.